BENOIT VALLE
 
BOURSE DE LA FONDATION
 
27 000 $
 
RC Rennes Sévigné Triskel
Conseiller : Jean-François TANGUY
 
U S A
 
 
 
 
Bonjour,

Je suis Benoît Vallée, 23 ans et diplômé d’une Licence en Histoire et Sciences Politiques.
Je suis actuellement en passe de terminer un Master 2 en Histoire et Relations Internationales à l’Université de Rennes 2.

J’ai connu par le passé deux expériences d’échanges universitaires internationaux, une première fois à l’Université Autonome de Madrid puis une seconde fois à l’Université de Guadalajara au Mexique. Je possède désormais une bonne expérience de la langue espagnole et j’aimerais donc pouvoir avoir une expérience en pays anglophone également.

C’est pourquoi je souhaiterais étudier un doctorat en ethnomusicologie dans une université américaine ou canadienne. Je suis musicien et passionné par la musique depuis de nombreuses années ce qui explique mon attirance pour l’ethnomusicologie, qui de plus, permet de d’appréhender et comprendre différentes cultures musicale à travers le monde et matérialiser l’idée de rapprochement entre les peuples développée par le Rotary Club.

Le Rotary Club m’a intéressé car il représente un soutien important à la jeunesse pour la réalisation de ses projets.
 
 
 
23 janvier 2013 25 novembre 2013    
23 janvier 2013
 
Bonjour à toutes et à tous, rotariennes, rotariens,

Me voilà arrivé à Albany (up-state NY comme on dit ici) dans le Nord-est américain depuis maintenant trois bonnes semaines. Pour situer rapidement géographiquement la ville d’Albany, elle se situe un peu comme un carrefour du Nord-est états-uniens ainsi que du Sud-est canadien. New York City est à 150 miles (240km), Boston à 170 miles (270km), Montréal à 220 miles (350km) et enfin Toronto un peu plus loin à 380 miles (600km). Il s’agit d’une petite ville (à l’échelle américaine) de 100 000 habitants qui n’est d’autre que la capitale de l’Etat de New York. On y retrouve donc plusieurs bâtiments administratifs qui composent l’essentiel du centre ville (downtown). L’autre partie connue est le campus de l’Université d’Etat de New York (SUNY) à Albany, l’université où j’ai donc commencé mon Master. Hormis ça, l’essentiel de la ville est composé de quartiers résidentiels de maison en bois. L’hiver est rigoureux, le froid et la neige sont bien plus prononcés que chez nous.

Certains se demanderont pourquoi suis-je arrivé à cette période là dans un pays de l’hémisphère Nord qui a donc le même calendrier académique que les pays européens. Bonne question ! Pour des raisons personnelles, ainsi que par un échec de candidature pour la rentrée de septembre passé à l’Université du Texas à Austin, je me suis rattrapé sur une deuxième opportunité de candidature pour la rentrée d’hiver. En effet, certains établissements aux Etats-Unis proposent une flexibilité des calendriers académiques et permettent aux étudiants de commencer un programme d’études en janvier (Spring semester).

Malgré ces divers contretemps, je suis donc bien arrivé dans les temps pour commencer un Master en Etudes Latino-Américaines, Caribéennes, et Latinos aux USA (Latin American, Caribbean, & US Latinos Studies). Il s’agit d’un Master de recherche sur des problématiques historiques, politiques, sociales, culturelles sur le continent Latino américain ainsi que sur les communautés Latinos qui vivent aux Etats-Unis. Ainsi, les thématiques de Diaspora, Coopération Internationale, Migrations, etc.…sont également abordées. Inutile de faire un éloge prolongé de ce que je fais, mais pour être honnête, dans ce domaine là, les universités américaines proposent des formations très complètes et intéressantes. Les professeurs sont des spécialistes confirmés, et les camarades de promotion sont très brillants. Un petit bémol néanmoins ; dans les éléments de candidature, la langue espagnole, portugaise, ou créole, apparaissent comme requises. J’ai la chance d’être hispanophone par mes expériences passées, ce qui m’a surement aidé dans le processus d’acceptation, mais ici aucun cours ni même aucun livre, pour l’instant, sont en espagnol et/ou portugais…Je trouve ça un peu dommage. Dans l’autre sens, étant donné que la charge de travail très soutenue du Master, environ 3 livres à lire par semaine, est exclusivement en anglais, je vais bien progresser de ce côté-là.

A mon arrivée, j’ai été très bien accueilli par un rotarien du Rotary Club d’Albany (District 7190), Christopher Terzian, qui m’attendait à la gare ferroviaire d’Albany (après avoir fait le trajet en train de New York City à Albany) et qui m’a hébergé deux nuits avant de me conduire sur le campus pour que je prenne mes quartiers dans mon appartement. Il m’a également énormément aidé dans mon installation, et je vais surement continuer à le voir régulièrement pendant l’année car le courant passe très bien. Au préalable, j’avais établi un bon contact par mail avec un conseiller rotarien du même club donc, CG Frink. J’ai pu leur donner quelques produits bretons que j’avais réussi à caler dans ma valise. Je n’oublie évidemment pas tous les services rendus ainsi que toutes les informations données par les Rotariens du district 1650, que je ne remercierai jamais assez de m’avoir sélectionné, ainsi que Sandra Urban de la Fondation Rotary International puis par la suite Judith Huff. Enfin, je pense également au week-end de formation et intégration organisé par l’ABFR fin mars 2012, qui m’a fait rencontrer tous les autres boursiers fondation de France ainsi que les Rotariens de l’ABFR. Ce week-end était assurément riche et positif. Je garde d’ailleurs contact avec plusieurs boursiers qui sont en ce moment même également partis aux quatre coins du monde. J’ai effectué ma première présentation-exposé mercredi 6 février en compagnie de CG Frink et de Christopher Terzian, et des autres membres du Rotary Club d’Albany. Nous étions conviés pour déjeuner ensemble, et ensuite les rotariens ont commencé à réaliser des travaux pour un projet qui a été monté. Il s’agit de fournir un nombre assez conséquent de couverture pour un hôpital pour enfant, l’après repas s’est donc transformé en un grand atelier découpage pour embellir les couvertures. Il y a de nombreux clubs dans la région, dans lesquels je pourrais assez facilement effectuer d’autres présentations. Personnellement, en tant qu’Ambassadeur de bonne volonté, je compte parler de mon expérience lors des réunions organisées par le Service Internationale de l’Université à Albany, et je compte également chercher des associations locales de communautés étrangères (notamment latin@s) pour effectuer, dans la mesure du possible, de l’échange culturel.

En ce qui concerne les Etats-Unis, disons que c’est un pays que je connaissais un tout petit peu, pour être allé plusieurs fois à New York City par le passé. Il est vrai que New York City peut se considérer comme une bulle dans ce grand pays, car c’est une ville immense et très riche, culturellement, ainsi que socialement. Ici à Albany, je découvre un panorama peut-être plus « standard » sur les Etats-Unis. La vie, l’ambiance, l’atmosphère, n’a rien à voir avec New York, d’autant plus que je vis sur le campus, avec ses avantages et ses inconvénients. Je partage un appartement avec trois colocataires américains, ce qui est bien pour la pratique de l’anglais, en plus de la pratique universitaire, je pense que les progrès vont être rapides, et c’est une très bonne chose. Le coût est assez largement plus cher que d’avoir un logement hors-campus, j’avais postulé pour les logements étudiants les plus simples sur le campus mais je me suis retrouvé assigné ici. L’endroit est spacieux, et on peut y cuisiner, en plus d’être à 5mn à pied de mes salles de cours. Le campus est « à l’américaine », grandes bibliothèques, architecture massive et ordonnée, nombreux équipements sportifs, services de restauration, banques, etc…

Depuis mon arrivée, je n’ai pas encore fait de visites. Etant donné la charge de travail, ainsi que le temps d’adaptation nécessaire, je préfère pour l’instant rester sur le campus et affiner mon organisation petit à petit. Une fois bien dans le rythme, je pense que ma nature curieuse m’emmènera assez régulièrement visiter les nombreuses villes et autres lieux intéressants qui sont assez proches géographiquement. A ce sujet, comme je l’ai dit au début, Albany est très bien placée pour ça. Il y à la Saint Patrick qui ne devrait pas tarder à arriver, entre les communautés irlandaises de Boston, ou de New York City, ce sera certainement une bonne occasion de s’échapper un petit peu d’Albany, pour ce qui sera les premiers jours du SpringBreak.

Je vous souhaite une bonne continuation à tous, et à bientôt pour de nouvelles infos.

Benoît
Cliquez sur les images pour les agrandir
Vue sur le campus depuis mon logement universitaire Mon département d'études à l'Université d'Albany.
Une photo avec Christopher Terzian, le rotarien qui m'a accueilli à la gare ferroviaire d'Albany le jour de mon arrivée. Décoration rotarienne du restaurant où s'est tenu l'évènement le mercredi 6 février (jour de ma 1ère présentation-exposé).
Ateliers de découpage de couverture pour l'hôpital pour enfants. Vue sur une des rues du centre ville d'Albany.
 
Haut de page
25 novembre 2013
 
Bonjour à toutes et à tous, rotariennes, rotariens,

Des nouvelles d’Albany au nord de l’Etat de New York, où je poursuis mon Master sur l’Amérique Latine, la Caraïbes, et les latinos aux Etats-Unis. Il s’agit donc désormais de mon deuxième semestre, après celui complété en mai dernier, qui s’est suivi d’un retour en France pour l’été. Je suis donc revenu en septembre pour continuer ce programme de Master, qui s’est intensifié d’un cran, étant donné que j’ai du choisir 4 cours pour ce semestre (c'est-à-dire un de plus qu’au précédent) pour répondre aux exigences de l’immigration américaine quant aux visas étudiants.

En effet, quatre cours sont requis pour être considéré « full time status » et donc ne pas risquer d’annulation du visa étudiant. Au cours du premier semestre effectué aux Etats-Unis, les étudiants étrangers peuvent faire signer une dérogation par leur directeur de programme pour suivre trois cours au lieu de quatre, en guise de temps d’adaptation. Néanmoins, je dois avouer que cette affaire s’apparente un peu à un imbroglio bureaucratique. En essayant de rendre simple le compliqué, le « full time status » à quatre cours, et donc 12 crédits (4x3), est calqué sur les rythmes suivis par la majorité des étudiants internationaux qui viennent s’inscrire en undergraduate (licence). Arrivée à un niveau Master, le rythme logique conseillé par les directeurs de programmes de Master, et suivi par les étudiants, est de trois cours (9 crédits). Mon directeur de programme, averti par mes soins, s’est donc renseigné sur cette controverse administrative, et il m’a permis, non pas de revenir à un semestre à trois cours actuellement, mais de pouvoir suivre « que » deux cours lors de mon prochain semestre, qui sera le troisième et avant dernier dans la complétion du Master.

En attendant, j’ai donc une charge travail très soutenue, puisque j’ai un cours supplémentaire par rapport à mes collègues de classe, qui sont de plus, pour la plupart, anglophone de naissance. Malgré tout, ce rythme soutenu représente un beau challenge, que j’arrive à relever pour l’instant, et qui me permettra surtout d’avoir beaucoup plus de temps libre lors du prochain semestre pour mener à bien mon projet personnel de recherche ; sur l’identité dominicaine entre diaspora new yorkaise et République Dominicaine, à travers les expressions culturelles, et plus particulièrement la musique.

En ce qui concerne mon troisième semestre, j’ai pris la décision de le retarder de six mois et donc de l’effectuer lors de l’automne 2014, et non pas au printemps prochain. En effet, je me suis d’accord, à la fois avec mon département d’études, ainsi qu’avec le service des Relations Internationales de l’Université d’Etat de New York à Albany, pour prendre une « leaving absence » d’un semestre sans subir aucunes pénalités au niveau de mes crédits acquis. A vrai dire, c’est une pratique assez courante pour bon nombre d’étudiants ici, étant donné les coûts financiers élevés des études, plusieurs prennent ces « leaving absence » pour travailler temporairement dans l’optique de payer les frais d’université… Je vais donc recourir à cette pratique, pour des raisons financières, personnelles, et familiales ; et je pense donc revenir dans de bonnes conditions pour finir ce programme en mai 2015, et mener à bien mon projet de recherche.

Mes relations avec les rotariens locaux se poursuivent bien, même si le rythme universitaire me prend beaucoup de temps, j’ai revu plusieurs fois mon conseiller local, CG Frink, toujours accueillant et serviable, ainsi que d’autres membres du club d’Albany. J’ai également rencontré Batuka, un boursier fondation-ambassadeur de bonne volonté de l’année scolaire précédente, et qui est resté une année supplémentaire pour terminer son cursus. Batuka est originaire de Mongolie, et travaille sur l’amélioration des réseaux de transport dans la ville d’Oulan-Bator, la capitale, ainsi que sur les aménagements urbains de manière générale. Il s’agit d’une très bonne rencontre, pleine d’originalité. En outre, j’ai également assisté à une journée de séminaires qui a eu lieu fin septembre dans la banlieue de Boston, au Rotary Northeast Link. Séminaires qui réunissaient différents clubs du Nord-Est américain, majoritairement de Boston, des boursiers de divers horizons, ainsi que des intervenants aux parcours incroyables qui ont fait part de témoignages marquants. J’y ai d’ailleurs fait une présentation. Bon nombre de discussions tournaient autour de la réforme commencée au sein de la Fondation Rotary, et notamment de la nouvelle organisation autour des nouveaux systèmes de Bourses. Les rotariens, de manière générale, semblaient concernés et soucieux d’appréhender ce processus pour l’appliquer au mieux, en reconnaissant que certains points étaient difficiles à mettre en place. Dans tous les cas il s’agissait d’une vraie belle journée Rotarienne qui m’a permis de développer de plus ample contacts dans le Nord-Est américain de manière générale, que ce soit avec des boursiers ou des membres Rotaract de ma génération, ou bien avec des rotariens plus âgés.

Pour la fin du semestre, qui se finit le 13 décembre, et avant de m’envoler vers la France pour les fêtes de fin d’année, j’ai prévu de rencontrer plusieurs clubs dans le Nord-Est, et notamment un à Rochester. En effet, le Rochester Latino Rotary Club, vous pouvez l’imaginer, de part son nom, représente un intérêt que je partage sur les communautés latinos aux Etats-Unis. Je me réjouis de les rencontrer prochainement, notamment dans l’optique d’avoir, je suppose, des discussions intéressantes et poussées sur les latinos aux Etats-Unis, et voir comment ils appréhendent la question au sein du Club. Par ailleurs, Rochester est une ville jumelée avec Rennes si mes souvenirs sont bons, une occasion plus de s’y rendre par curiosité.

Enfin, j’ai réussi à voyager un peu plus ce semestre, grâce à l’expérience du semestre passé, et une organisation un peu plus établie. J’ai pu découvrir Boston donc, qui m’a toujours semblé intéressante de part les racines celtes qui la composent, ainsi que Montréal ; une ville très cosmopolite et intrigante, entre ces racines françaises et l’influence anglophone également. Je me suis également rendu plusieurs fois à New York, où j’ai eu l’honneur et le privilège d’assister à plusieurs événements qui célébraient le quarantième anniversaire de la culture Hip-Hop, née à New York en 1973 ; une culture qui m’est chère et qui représente souvent un objet d’études intéressant au moment d’aborder les questions d’identités culturelles auxquelles j’aime bien me confronter.

Le sprint final est donc lancé pour les trois dernières semaines de ce semestre, et les travaux finaux, mais en attendant un pont de cinq jours m’attend avec l’arrivée de Thanksgiving, et des premiers flocons. Je vous souhaite une bonne continuation à tous, et à bientôt pour de nouvelles infos.

Benoît
Cliquez sur les images pour les agrandir
Échange de fanions au Rotary Club d'Albany, avec le président actuel Richard Suker Une des différentes salles de conférence à Boxborough, MA, où à eu lieu la journée de séminaires du NorthEast Link
Une des différentes salles de conférence à Boxborough, MA, où à eu lieu la journée de séminaires du NorthEast Link Boston, lieu des attentats d'avril dernier lors du Marathon.
Boston Downtown Match de NHL des Canadiens de Montreal, fierté de la ville, contre les Flyers de Philadelphie.
5 pointz, dans le Queens à New York, considéré comme la Mecque du graffiti, où j'ai pu prendre une photo pour la célébration des 40 ans de la culture Hip-Hop. (Cet immeuble est d'ailleurs en voie de démolition, avec tout l'art qui en orne ses murs...)
 
Haut de page
 
 
 
 
 
 
2014/2015
 
BOURSES PROF.
Bruno LE BASTARD
Chloé SENECAL
 
BOURSES D'ETUDES
Jérémy ANGEMAIER
Lucile BACHELIER
Agathe CHRISTIEN
Anatole DANTO
Thibault ALCORANI
Elodie CLEQUIN
Amandine LANNEVAL
Adeline LE CLEZIO
Florian RENAULT
Clara SAUVETRE
   
L'EUROPE ET LES JEUNES
Nicolas LE BLEÏS
Bruno PEDUZZI
Nicolas HUCHET
 
2013/2014
 
BOURSES PROF.
Manon DILER
Jérémy ANGEMAIER
Claire LEBRET
 
BOURSES D'ETUDES
Etienne AMOURET
Pauline ELUERE
Lucas KRIEF
Manon LAINE SILAS
Guillaume LEGRAND
Margaux LENOIR
   
L'EUROPE ET LES JEUNES
Jean-Marie PEDRON
Benoît CONAN
 
2012/2013
 
BOURSES FONDATION
Benoit VALLEE
 
BOURSES PROF.
Maxence DOUET
Anne Gaëlle LE COUSTER
 
BOURSES D'ETUDES
Hervé BERVILLE
Margaux BLANDEL COQUET
Hélène DESPONS
Brice DIDIER
Alexandra HERMAN
Anne JONCHERAY
Lola LEMOING
Anne-Hélène MAHE
Gladys NEVANNEN
Aurélie NOLLET
 
2011/2012
 
BOURSES FONDATION
Kanako MAKINO
Aurélie BRAULT
 
BOURSES ROTARY MONDE
Floriane PREVERT
Mayline GUILLOU
Bruno FURCY
Emilie LE GOUX
Morgane LE GUYADER
Laura MARTINACHE
 
BOURSES ROTARY EUROPE
Alix ROELLINGER
Sylvain PIEL
 
2010/2011
 
BOURSES FONDATION
Pauline BOZEC
Youssef KTIRI
 
BOURSES ROTARY MONDE
Joaquima MIMOSO FACHADA
William TE
Marie Charlotte PHILIPPE
Gaëlle REDON
Eriko MUKODA
 
BOURSES ROTARY EUROPE
Marie BELE
Vanessa DELAGE
Julien LEON
 
BOURSES PROF.
Kevin CHEVALLIER
 
2009/2010
 
BOURSES FONDATION
Marco LIM
Eriko MUKODA
 
BOURSES ROTARY MONDE
Henri DOLLFUS
Juliette HAINAUT
Emilie ROLANDIN
 
BOURSES ROTARY EUROPE
Marie-Paola BERTRAND HILLION
Hélène FOURE
Pierre-Marie LEFEUVRE
Yanne-Lucille LEFEVRE
Julie LE SCOUARNEC
Pierrick REMY
Tatiana VAN HUFFEL
 
2008/2009
 
BOURSE FONDATION
Aï HIGASHIKAWA
 
BOURSE EUROPEENNE
Gabriel LECHIEN
 
BOURSE SPECIALE DU JURY
Sylvain DIDOU
 
BOURSES COMP. ERASMUS
Pascaline VINCENT
 
BOURSES PROFESS.
Vincent ROUMIER
Sylvain SEIGNERET
 
2007/2008
 
BOURSES EUROPEENNES
Anthony LEBOUC
 
BOURSES COMP. ERASMUS
Samuel GARNIER
Léa GLIN
Maël GOARZIN
 
2006/2007
 
BOURSE EUROPEENNE
Marine CARON