Accueil
 
Le Rotary International
 
 
 
 
 
Les Actions des Clubs
 
Les Actualités
 
Calendrier du District
 
Téléchargement
 
Communication
   
 
 
 
Quai Charles de Rohan, Café Leffe - Maison de la Mer - 56100 Lorient
02 97 21 21 30
Réunions : Le mardi au siège : déjeuner 3 mardi par mois. Dîner : 1 fois par mois avec conjoints.
 
 
24 avril 2011 Concours Travail manuel " Une Tête, deux Mains "
01 février 2011 La conférence statutaire de Denis Siband
31 janvier 2011 Des nouvelles d'Enora à Taïwan - Part III
28 janvier 2011 Concours d'expression orale du 22 janvier 2011
16 janvier 2011 La vente aux enchères de vins rapporte 8 500 € à Leucémie Espoir 56
14 janvier 2011 Bloavezh mat de Taïwan
13 janvier 2011 Charlotte Chenin : une bourse du Rotary pour un stage à Ottawa
CONCOURS  TRAVAIL MANUEL, « UNE TETE, DEUX MAINS »
 
24 avril 2011
 
Le concours s’est déroulé le mercredi, 23 mars 2011 et pour la première fois dans les nouveaux ateliers du lycée des métiers « Marie Le Franc ». Comme d’habitude le concours a été organisé conjointement par les deux Rotary Club de Lorient.

Au total 12 candidates, (aucun garçon), se sont présentées devant le jury de six personnes (trois de chaque club), présidé par Christophe Kunsch.

Les élèves de trois catégories ont présenté leur travail : Esthétique 4, Coiffure 6, Enseigne et Signalétique 2 personnes faisant équipe. Le thème pour les deux catégories de la beauté était « Le Printemps » Le concours, grâce à une parfaite organisation, s’est très bien déroulé. Dommage : l’absence totale de garçon.
 
 
Les lauréats :   
   
Mariane Leulier, Esthétique pour le RC Lorient
Charlène Danilou, Coiffure pour le RC Lorient Porte des Indes
Laura Giard/Blandine Le Touze, Enseigne et signalétique
 
Un pot convivial était servi par l’équipe du lycée Marie Le Franc.
Rendez vous en demi-finale.

Dieter Wiethölter
 
 
 
 
 
HISTOIRE DE LA PROFESSION HUISSIER DE JUSTICE
 
  01 février 2011
 
CONFERENCE STATUTAIRE DE DENIS SIBAND
 
 
SOUS L'ANTIQUITE

   
Dans le cadre imposé par la Pax Romana, les décisions des juges étaient appliquées par des officiales. Ceux-ci étaient répartis sous différents titres selon leurs fonctions. Ils avaient pour noms viatores, executorum latium, cohortales, statores; parmi eux les plus remarqués étaient les apparitores et les executores.
   
Les apparitores avertissaient le peuple pour les rassembler lors des jugements. Ils introduisaient les plaideurs et assuraient la police des audiences, c'est-à-dire qu'ils rétablissaient le silence lorsque les voix s'enflaient de trop.
Les executores avaient pour tâche de s'emparer (de saisir) des biens des débiteurs récalcitrants ou même de les conduire en prison.
 
 
AU MOYEN-AGE

 
Puis la Pax Romana s'écroula sous le flot des nombreuses invasions barbares et la Justice privée réapparut.
Le royaume s'organisa autour d'un ensemble de hiérarchies qui chacune établit sa propre organisation judiciaire.

La Justice, attribut essentiel du pouvoir, se rendait alors sous la bannière de la multiplicité. Les lois se personnalisèrent selon qu'elles furent royales, seigneuriales, ecclésiastiques ou communales.

Pourtant, dans toutes ces différentes juridictions, une certaine unité permettait de représenter le pouvoir. Pour cela, il fallait des agents jouissant d'une autorité incontestée.

Nos officiales romains furent alors transformés en bedeaux, serviens, semonceurs (les semonces étaient les ancêtres des exploits, les actes d'aujourd'hui), puis en sergents et en huissiers.

Les sergents devaient mettre en forme les demandes des plaideurs et exécuter les décisions rendues par les juges, mais ils s'occupaient plus particulièrement des significations dans les juridictions seigneuriales.
Les huissiers (dont le nom vient de "l'huis", la porte) sûrs et attentifs, avaient la charge du service intérieur des Audiences et de la police des tribunaux.Puis, progressivement, les huissiers devinrent les officiers des juridictions importantes tandis que les sergents furent relégués aux juridictions de second ordre.
Leurs compétences s'élargirent, et il devint de plus en plus difficile de tous les regrouper en une seule catégorie.
 
   
Différents symboles permettaient de les distinguer :
 
On pouvait les reconnaître à leurs manteaux bigarrés puis rayés et à leur " verge ".

Un décret datant de 1327 raconte que l'huissier devait avoir un bon cheval de la valeur de 100 livres, des armes suffisantes et une " verge " de la valeur de 50 livres.

Une ordonnance de mai 1425 précisait par ailleurs qu'ils devaient être mariés, tonsurés et porter continuellement leur costume rayé. L'huissier était un des symboles de l'autorité royale. Mais, c'était la " verge " qui était la principale caractéristique de l'autorité de l'huissier. Il s'agissait d'une sorte de petite baguette ronde, en ébène, longue d'une trentaine de centimètres garnie de cuivre ou d'ivoire.
Les huissiers devaient toucher, d'après un décret datant de 1568, " ceux auxquels ils auront la charge de faire exploit de justice ". 
 
C'est d'ailleurs de là que vient le mot " exploit " transformé par la suite en acte. (Le premier texte législatif qui prescrivit de rédiger des exploits et d'en laisser copie fut l'ordonnance de Villers-Cotterets)

De plus, et si l'on en croit Rabelais, ils portaient un anneau d'argent au pouce gauche. Cet anneau leur servait à sceller les relations de leurs exploits. Dès que l'huissier avait touché quelqu'un de sa " verge ", celui-ci lui devait obéissance et soumission.

Pour en revenir aux costumes, ils évoluèrent et varièrent selon les lieux et les juridictions. Affaire de culture et de situation dans cette complexe hiérarchie, l'habit d'huissier passait de la robe de laine à celle de satin noir, du simple bonnet à la toque de velours à cordon d'or...Jusqu'au plus empanaché de tous : le premier huissier du Parlement de Paris qui avait le titre de Maître, la qualité d'écuyer donc de noble et dont le costume était une robe rouge avec un bonnet de drap d'or, retroussé d'hermine avec une grosse perle.
 
En Janvier 1572, nos officiers perdent l'obligation du port de leur costume et leurs signes distinctifs se réduisent à un écusson à trois fleurs de lys visible sur l'épaule et toujours la " verge ". Parallèlement, ils virent leurs attributions se compartimenter.

Par exemple, à Paris, la juridiction du Châtelet comprenait six sortes d'huissiers :
 
Les huissiers audienciers pour les tribunaux
Les huissiers à cheval pour les faubourgs et les campagnes,
Les huissiers à pied pour le centre de la ville,
Les huissiers priseurs (les commissaires-priseurs actuels),
Les huissiers à la douzaine (les gardes du prévôt), plus 4 huissiers dit fieffés dépendant uniquement du Châtelet qui pouvaient exploiter dans tout le royaume.
   
DE L'EPOQUE MODERNE A AUJOURD'HUI

 
   
Au mois de février 1705, un édit réunit en un seul corps la communauté des huissiers. C'est ainsi qu'ils prirent tous le titre unique d'huissier. Celui-ci leur permit " d'exploiter en toute matière dans toute l'étendue du royaume et de résider où bon leur semblerait ".

Cette unification s'accompagna d'une réglementation quant à leur nombre. Jusqu'à l'arrêt du 22 Termidor an 8, chaque tribunal devant indiquer par un avis le nombre d'huissiers qui lui était nécessaire permettant ainsi au pouvoir central de reprendre en main cette catégorie professionnelle.

Ainsi apparut une ébauche du statut de l'huissier, renforcée par un décret impérial, datant du 14 juin 1813. Celui-ci reprenait d'ailleurs certains textes anciens pour déterminer par exemple le mode de nomination des huissiers et pour fixer les connaissances requises ainsi que les attributions exactes de ces officiers.
 
Si aujourd'hui, l'Huissier de Justice n'exerce plus en costume, la baguette à la main pour ajourner ou saisir les débiteurs, il reste pénétré de la grandeur de sa profession et des devoirs qu'elle lui impose dans sa participation à l'oeuvre de la Justice. Et le mot de Saint Appronien, patron des huissiers résonne encore, plein de respect : "Mon dieu, mon dessein est de n'avoir nulle collusion avec la partie adverse de la mienne, je me propose de ne jamais saisir chevaux ou ce qui servirait au gain de la vie des débiteurs..."
 
ENORA A TAÏWAN - PART III
 
  31 janvier 2011
 
 
Bonjour à tous

5 mois , soit la moitié de mon séjour,
Et depuis la dernière fois.. J'ai passé noël en montagne, avec tous les étrangers, ou en guise de repas le 24 au soir, nous avons eu des pizzas et du coca, autant vous dire à quel point l'esprit de noël n'était pas là, et ce fut je pense mieux ainsi, le 25, nous ( les étrangers ) nous sommes quitté mangeant un subway ( sandwitch américain pour ce qui ne situe pas ) sous la pluie, ce noël fut tout de même extraordinaire de par son originalité, puis, une amie américaine et moi avons finis dans une crêperie bretonne à 20m de chez moi : appelée , attention : " la crêperie bretonne" oui oui , c'est drôle..
Le nouvel an, fût fêté, bien que Le nouvel an chinois ( se déroulant début février) est bien plus important ici, un feu d'artifice fut lancée du Taipei 101. Voir la vidéo sur YouTube. .

Pour les nouvelles, j'ai donc mes seules vacances de l'année, (oui ici, seulement des vacances d'été, et d'hiver ) donc je suis en vacances pour quelques semaines, je reste sur Taipei, puis vais avec ma première famille dans quelques villes, puis dans le sud, pour visiter et voir de la "famille", pour le moment j'ai pas mal d'activités avec les autres étrangers, car oui je ne peux pas voir énormément mes classmates, qui même durant les vacances , doivent aller travailler .. (l’élève taïwanais normal a 2 ou 3 semaines de vacances d'hiver,  où il passe beaucoup de temps travailler et ou le moment de souffler il s'agit d'aller fêter le nouvel an chinois en famille) et les vacances d'été .

Pour le coup, le mois de janvier, à fait naitre un nouveau sens à cette année, j'avais au début l'impression que cette année allait être looongue, et finalement depuis janvier je vois la fin arriver plutôt vite, sans trop réaliser que j'ai déjà fait la moitié de mon année ici ;
Pour le petit scoop, j'ai eu la surprise hier après midi, de ne plus trouver mon sac à main, posé derrière moi sur un banc, la femme assise derrière avait aussi disparu aussi vite que mon sac, pour l’expérience, j'ai tout de même eu le droit à un tour dans Taipei sur le scooteur d'un policier taïwanais, m'accompagnant au commissariat, en attendant, plus de portable, d'appareil photos, d’ipod (avec toutes les photos dessus), plus de porte feuille, et d'objets personnel, comme quoi, il n'y avait pas besoin d'aller au brésil pour connaître cela..

N'ayant pas de cours depuis 3 semaines, nous avons eu des activités avec le rotary, soit des journée pour apprendre à jouer au "Mah-jong" jeu de société des plus connus en chine et à Taiwan, j'ai pu aussi apprendre à cuisiner des dumplings, des sushis .. ou encore été en haut d'une montagne dans un temple bouddhiste, afin d'y faire un veux, et recevoir une réponse à celui là (en chinois bien sur)..

Le nouvel an chinois commence cette année le 3 Février, et Le tigre laisse place au Lapin
Je vous souhaite donc à tous une bonne année chinoise, et beaucoup de bonheur
Enora Baronnet
 
 
Cliquez sur les images pour les agrandir
 
CONCOURS EXPRESSION ORALE DU 22 JANVIER 2011
 
Organisé par les deux clubs Rotary de Lorient
Le Rotary Club de Lorient Porte des Indes
Et le Rotary Club de Lorient
 
L’éliminatoire du Concours Expression Orale a eu lieu le 22 Janvier 2011, à l’hôtel Mercure de Lorient.
Le sujet, communiqué aux candidats courant décembre était le suivant :
 

« Confronté à certaines réalités, est-il toujours possible de rester fidèle à ses valeurs,
idées et idéaux ? »

 
Les 10 candidats ont présenté leur commentaire oral devant un jury de 6 Rotariens et conjoints de Rotariens, pendant environ 15 minutes.
Issus de plusieurs lycées de la région Lorientaise, les candidats au nombre de 11 annoncés, dont 10 présents effectivement, (Lycée Jean-Macé de Lanester,  Lycée Saint-Louis et  Lycée Saint-Jo) ont fait preuve de maturité, et de personnalité. (Tous les lycées des environs étaient contactés pour ce concours).

Un groupe de 5 candidats (ou candidates) se distingue et est retenu par le jury, constitué de Hélène Hulné, Eliane Daumas, Michel Le Fahler pour le Club de Lorient et Hervé Ferrière, Philippe Bergougnoux et Guy Gasan pour le Club de Lorient-Porte des Indes.
La remise des prix a eu lieu à l’hôtel Mercure le lundi 24 Janvier à 19h30
 
Les lauréats :
 
Bénédicte ILLIEN, élève de 1ère S à Saint-Jo et Jonathan MALLARD, en 1ère L, section théâtre de Jean Macé remportent les deux premiers prix et chacun s’est vu remettre un chèque de 150 €. Ils participeront tous les deux à la demi-finale régionale (Bretagne-Mayenne) qui aura lieu le 16 Avril à Lorient.
Quentin PAILLET, 1ère S à Saint-Jo, reçoit le deuxième prix, et un chèque de 130 € ;
Deux troisième prix sont décernés à Justine LEGOFF-Le DOUSSAL, terminale à Jean Macé et à Charlotte PEDRONO, 1ère S à Saint-Louis, qui reçoivent chacune un chèque de 100 €.
 
Quels photos et articles de presse (Cliquez dessus pour les agrandir)
   
 
VENTE DE VINS POUR LEUCEMIE ESPOIR 56
 
  16 janvier 2011
Vu dans Ouest-France
 
Cliquez sur les images pour les agrandir
BLOAVEZH MAT DE TAÏWAN !
 
  14 janvier 2011
 
 
L'hiver arrive, les fêtes de fin d'année aussi..

Le mois de décembre n'a pas été très facile, je pense qu'il est plutôt normal pour tous les échanges students de se poser quelques questions en ces périodes de fin d'année, mais au final, tout cela m'aide justement à apprécier mon année d'autant plus, maintenant ça va mieux. Je me suis rendue compte que pendant que vous passiez un noël des plus normal (que j'envie je dois l'avouer) je me suis finalement retrouvée, avec prés de 40 jeunes des 4 coins du monde, à fêter "noël" dans un hôtel à la montagne, à manger des pizzas pour le réveillon, bien loin du champagne, du foie gras, de la magie de noël, de la neige, du sapin décoré de guirlandes, mais tellement différent et tout aussi marquant !

J’ai aussi changé de famille il y à une semaine. Ma nouvelle famille habite plus loin du centre, ce qui fait que j'ai pas mal de trajet pour aller au lycée, mais pour le coup l'appartement est vraiment spacieux. Je vis avec les parents et les grands parents avec qui je pratique beaucoup plus mon chinois. En effet, personne dans cette nouvelle famille ne parle anglais. J'en avais peur au départ, et finalement je m'en porte vraiment mieux ;

Je ne suis pas en vacances, mais le serai pour le mois de janvier, février, (le nouvel an chinois étant début février). C'est plutôt étrange de ne pas être en vacances en cette période, surtout que je n'ai pas eu non plus de vacances en octobre, j'avoue que je ne travaille pas beaucoup et que je ne suis pas fatiguée, mais rien que le fait de se lever pour aller en cours tous les matins, me fait remarquer que les vacances françaises me manquent un peu.

Le journal Ouest France m'a contacté il y à peu, et j'ai écris un article qui paraitra normalement le 27 décembre, Voilà pour les nouvelles, et pour le signe de vie,  je vous joins des photos des dernières semaines.

Bonne fêtes à vous tous,
Enora
 
 
 
UNE BOURSE DU ROTARY POUR UN STAGE A OTTAWA
 
  13 janvier 2011
Cliquez sur les images pour les agrandir