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24 MARS 2010 |
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BOUCHON ! |
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LES PRESENCES
- 2° dîner mixte.
En l’absence du proto, Florence, pas de liste de présence. Attrait du changement et dîner mixte ont aimanté
les membres du club : il en arrivait, il en arrivait toujours,
dans la petite salle de restaurant où l’on s’entassait ; nous
nous sommes serrés autant que nous avons pu ; ce fut une chaude ambiance.
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LES ANNONCES
- Rappel du concert du 8 avril : objectif 400 spectateurs. Faites de la pub autour de vous.
Jean-Christophe : nouvelles informations concernant la possibilité de récupérer un départ à l’étranger pour
un an auprès du club de Mayenne. La place a été proposée pour son fils à Pascal Ballet mais ce dernier a
décliné l’offre car il avait déjà pris ses dispositions pour envoyer son fils à l’étranger par un autre organisme.
La place a été ensuite proposée à Mathilde, fille de Gérard Bozetto, ancien membre du club. Mathilde
n’a pas donné suite car elle a pris ses dispositions autrement. La place sera en définitive proposée à Marie
Rupin que nous avons vue la semaine dernière à la soirée des jeunes.
Il va falloir faire vite pour monter le
dossier car nous avons 3 mois de retard !
Les conditions financières et d’accueil adaptées au contexte sont négociées avec le club de Mayenne.
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Notre intervenant surprise
Pierre Bodart de « Bouchons 53 d’Amour » |
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Depuis 2002, son association "bouchons 53 d'amour", collecte des
bouchons en plastique, en liège et en métal, en Mayenne d’abord puis
dans toute la France. Il y a de nombreux points de collecte.
Les sacs collectés dans la Mayenne et au-delà sont acheminés vers un
petit local de 120 m² situé 80 av de Mayenne à Laval, accessible aux
poids lourds. Les bénévoles trient le contenu des sacs de collecte. Les
bouchons en plastique sont réexpédiés par des semi-remorques de type
céréalières à fond mouvant à un transformateur belge. Ce dernier
après broyage, utilise le granulat dans des presses à injecter de forte
capacité pour extruder des palettes techniques colorées suivant les besoins des clients.
Les quantités traitées sont passées de 10 t en 2002 à plus de 20 t en 2009. Le prix de cession de la tonne
initialement fixé à 50 € est monté aujourd'hui à 200 € en fonction des cours du pétrole.
L’association recrute des bénévoles pour trier la matière et pour participer à de nombreuses manifestations
sportives comme le championnat de France de cross-country à l'hippodrome de Bellevue, le semi
marathon des écluses, le challenge junior national de sarbacane à Saint-Berthevin etc.
L’association ne dispose d’aucun fonds de roulement. Les recettes sont versées à un compte bloqué à
Rennes et sont débloquées exclusivement pour payer des fournisseurs dans le cadre de projets solidaires :
ex des équipements pour des polyhandicapés, fauteuils et ascenseurs à domicile...
Félicitations à notre intervenant qui, à plus de 70 ans, a gardé tout son enthousiasme juvénile.
Pour en
savoir plus http://bouchons53damour.free.fr
Une mention toute particulière pour le charmant geste de notre présidente,
Claude Touzard, qui passe à chacun un panier où chacun se sert d’un petit
seau rempli de chocolats de Pâques. « Mais ce n’est pas encore Pâques ! »
lui dit l’un.
On s’enquiert auprès de notre docteur angélique thomiste s’il
convient de donner des chocolat pendant la semaine de la passion. Pour
lui la cause est entendue, ayant prestement englouti l’objet du débat. |
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17 MARS 2010 |
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RETOUR DES JEUNES ( Taïwan et USA) |
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LES PRESENCES
2 Angot, 1 Belaud N, 2 Berger, 1 Desprez, 2 Feng, 2 Finocchiario, 1 Fonlupt, 2
Fourcade‐Foubert, 2 Javault, 1 Jézéquel, 2 Lepert, 2 Margogne, 1 Motte, 1 Mousset, 2
Paillard (H&V), 2 Porhel, 2 Potrais, 2 Prod'homme, 1 Quentin, 1 Richefou, 2 Simon, 2
Touzard
Orlando, Kayra, Benoit F, Florentine, Marine P, Lisa F, Solal B, Marie R, Genevieve
Paquet.
Parents Boutoux (2), Famille Accueil Royer (2), parents Brillet (2) |
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LES ANNONCES
- Le concert pour la banque alimentaire, le 8 avril à St Vénérand
- Laval Virtual, Gilbert nous propose des invitations.
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Jeunes d’échange : présentation de Florentine Brillet et de Benoît Feng qui partiront
respectivement en Argentine (c’était son 3ème choix) et à Taïwan (2ème choix). De Marie Rupin
et de Solal Boutou qui partiront en échanges courts.
- Les gazelles : Véronique Pohrel nous touche un mot du voyage qu’elle a fait (via une
association) avec Laurence Potrais et Hélène Margogne, pour apporter du matériel scolaire à
des écoles d’une région défavorisée du Sénégal.
- Témoignage en direct par Skype, de Marie Royer et de Maxence Gautier qui sont au
Mexique. Marie, depuis Guadalarara, raconte qu’elle a eu l’autorisation du Rotary pour être
bénévole dans une ONG et s’occuper d’enfants en difficulté, l’autre vit près de la frontière
américaine dans une région assez dangereuse, (présence de la mafia, patrouilles armées
dans les rues, corruption généralisée) qui impose de rester dans les maisons et immeubles et
de ne se promener en ville qu’en voiture verrouillée. Ceci dit, il vit très bien et voit beaucoup
de choses.
- Ils sont tous les deux enchantés de leur expérience
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USA et TAÏWAN
Par Lisa FONLUPT et Marine POTRAIS |
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Lisa et Marine nous ont proposé un témoignage à deux voix sur leurs expériences vécues
dans deux pays très différents : les USA et Taïwan.
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Lisa FONLUPT et Marine POTRAIS |
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Généralités.
Lisa a vécu dans l’état de New york, qui si il était indépendant, représenterait la 16ème
puissance mondiale. D’abord appelé « Nouvelle Hollande » en 1664, c’est devenu New York.
La ville de New York elle-même a le même poids économique que la Suisse. Lisa a vécu à
l’autre bout de l’état à Huit heures de route de New york, près de Buffalo.
La ville de Buffalo comporte 1 million d’habitants. La croissance démographique y est en
baisse. C’est une région qui vit sur l’agriculture, les céréales, les fruits, les maraîchers.
La peine de mort est anticonstitutionnelle dans cet état depuis 1976. 67% des électeurs ont
voté pour Obama. Curiosité : les chutes du Niagara. Histoire : Woodstock en 1969. Très jolie
région où Lisa a pu faire du bateau, du jet ski, du scooter des neiges. Les saisons y sont très
marquées.
Marine a vécu à Taipei, la capitale de Taiwan (République de Chine à ne pas confondre avec
la République Populaire de Chine). L’île de Taïwan a une superficie de près de 35 000 km2.
Elle fait dans sa plus grande longueur près de 370 km et sur sa plus grande largeur près de
140 k ( la taille de la Bretagne). Taïwan est peuplé d’environ 23 millions d’habitants. L’île de
Taïwan se situe au sud‐est de la Chine et est séparée de celle‐ci par le détroit de Taïwan ou
détroit de Formose qui au plus court entre Taïwan et la Chine continentale est large de
150 km. A Taipei, la capitale, Marine devait se déplacer en métro ce qui était très pratique.
Elle a pu vérifier que les tables rondes chinoises où chacun prend avec des baguettes dans les
plats disposés au centre de la table sur un plateau tournant est bien une réalité.
Les écoles
Nous avons eu droit à un très joli défile d’uniforme, Lisa et Marine portant fièrement celui de
leur école respective. Petite jupe et chemisier.
Lisa
Dans l’école américaine, on commence à 7h49 par entonner l’hymne national debout devant
la TV, la main sur le coeur. Puis on suit 9 cours. Ils ont 30 mn pour déjeuner et sortent à
14h23 précises.
L’école est un lieu dont les élèves sont fiers « maple grove high school » « l’école où il faut
être ». De gros moyens sportifs, un théâtre, on peut jouer des comédies musicales. Seul
bémol, les bus jaunes particulièrement inconfortables.
Tous les trimestres, l’école organise des activités au gymnase auxquelles participent tous les
élèves de l’école. Une nuit blanche est également organisée par l’école.
Lisa a participé à un cours d’environnement : recyclage du papier, nettoyage du village. Elle a
pu faire partie des pompom girls, et a même gagné un trophée…
Marine
Marine commence chaque jour par gravir les 200 marches de l’entrée de son école. A 7h30
lever du drapeau et hymne national. Les cours s’étalent ensuite de 7h45 à 17h00. Le midi les
jeunes ne vont pas à la cantine mais mangent leur lunch box dans leur classe. Puis trente
minutes de sieste obligatoires. Elle a eu 4h de cours de chinois par jour pendant trois mois.
Au départ elle était dans une classe, mais c’était impossible à suivre, donc elle n’a plus
participé qu’au sport, à l’art et à la musique. Elle a également assisté à des cours de français
(elle a vu Notre Dame de Paris en chinois). Des professeurs assistants s’occupaient plus
particulièrement des élèves étrangers (KungFu, calligraphie, travaux manuels, découpages
chinois, photos, cuisine, art…). Elle a pu faire un voyage avec sa classe (imaginez 15 bus de 40
personnes), un peu décevant car elle n’a pas eu beaucoup de contact avec les jeunes chinois
et finalement les élèves étrangers se sont retrouvés ensemble. Elle a eu deux speechs à faire
devant tout le monde, en début et en fin d’année.
Les familles
Marine et Lisa nous ont présenté leurs familles d’accueil respectives.
Lisa a souvent eu sa propre chambre et sa propre salle de bain. L’échelle américaine.
Marine devait partager sa chambre avec ses soeurs d’accueil (et même une fois avec une
souris !).
Lisa a pu vivre dans la famille d’un pilote de l’air force.
Marine a elle découvert des cuisines très variées avec un père d’accueil gastronome qui l’a
invité dans des endroits bien sympathiques.
Bus trip
Marine a fait un bus trip Ylan, Taroko, les temples bouddhistes, les tribus aborigènes (où les
femmes ont le pouvoir),Gaoxiung, Kending. Visite de Laurence et Didier, organisée de concert
avec sa famille d’accueil. Les parents de Phoebe ont même prêté un appartement. Visite du
101 (le deuxième plus haut building au monde), du temple de confucius, du mémorial Sun
Yatsen….
Lisa a eu la visite d’Isabelle et d’Adrien (en mai) et celle de Pauline plus tard. Elle a visité les
chutes du Niagara (visibles côté canadien, et côté américain, plus belles côté US), Buffalo,
New York, Toronto. Bus Trip.
Conclusions
Excellente expérience pour Lisa comme pour Marine.
Elles ont beaucoup apprécié la découverte de la langue et de la culture du pays d’accueil, de
même, elles ont vécu comme une expérience forte le fait de se trouver en « communauté de
vie » avec des jeunes étrangers venus de tous les pays du monde.
Le monde est maintenant un village où elles ont partout des amis.
Elles seraient prêtes à repartir ! |
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MERCREDI 3 MARS 2010 |
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ODORICO |
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LES ANNONCES |
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LES ODORICO
Par Bruno HIRET |
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Saviez-vous que nous avons vu pendant des années au Capucin Gourmand une mosaïque de Odorico (le homard et la bouteille). |
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Il faut savoir que la mosaïque n'est ni un meuble, ni un immeuble, et qu'elle est difficile à conserver.
Les Odorico sont les maîtres des Zocchetto (parents de Bruno). De 1850 à 1900 les italiens s'expatrient pour fuir la pauvreté. Les Odorico viennent du Frioul cette région au nord de Venise. Ils ont exercé à Rennes de 1822 à 1978.
Revenons à l'histoire de la mosaïque. |
- Dans l'antiquité, dés le 5 ème millénaire BC , on observe deux types de mosaïque, la mosaïque de pavement et la mosaïque murale. Les premières s'observent en Mésopotamie (Irak, Turquie…) - 3000 ans, on trouve des petits cônes d'argile cuits, seule la tête est visible (coloris rouge, blanc, noir)
- - 500 ans , chez les Grecs, on trouve de la mosaïque en galets, tesselles, de plus en plus précise. Souvent c'est de la copie du travail des peintres. C'est donc en partie pour cela qu'on dit que la mosaïque est un art en second, puisqu'il s'agit d'un travail de copiste.
- - 200 ans , les Romains, Pompéi, tesselles en pâte de verre
- + 100 à 400 mosaïque en marbre, à bath en Angleterre
- + 400 à + 1000 , Mosaïque byzantine dorée, à Constantinople, à Ravenne…
- +1400 à 1700 , c'est la mosaïque italienne, Florence au XVème, Venise au XIVème (St Marc)
- Au XVIIIème et au XIXème siècle, c'est le renouveau. Le Sacré Cśur de Montmartre, l'Opéra Garnier, Notre Dame de la Garde à Marseille.
- Au XXème siècle la mosaïque entre dans le privé. C'est l'art industriel. Gaudi va en faire une partie intégrante de ses créations. Klimt.
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MATERIAU UTILISE
- Des petits cubes de pierre, marbre, émail, verre, pâte de verre
- A partir de la fin du XIXème siècle, on utilise des tesselles industrielles, pré dimensionnées.
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DEUX TECHNIQUES DE POSE
- La pose directe (dans le mortier)
- La pose indirecte, on pose sur une feuille de papier, puis on colle dans le mortier
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ODORICO Isidore
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Issu d'une dynastie d'artisans italiens, Isidore Odorico fils est né le 31 octobre 1893 à Rennes, Ille-et-Vilaine, et mort le 27 février 1945 à Rennes. Installé à Rennes, reprenant la succession de son père, il réalise un très grand nombre de décorations de mosaïque essentiellement dans l'Ouest de la France.
ODORICO Isidore (et Vincent)
- ont travaillé pour l'opéra Garnier.
- Ils vont venir fonder leur entreprise de mosaïque à Rennes
- Ils réalisent des paillassons, des tapis, des décors religieux.
ODORICO Frères (seconde génération 1912-1945 (la période la plus jolie)
- Ont créé le stade Rennais
- Ce sont des ouvriers italiens (travaillant 70 heures/semaine)
- Il y a des maquettistes, des préparateurs, des poseurs de mosaïque.
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QUELQUES REALISATIONS
- 1926 : intérieurs des Bains-douches de Laval (Mayenne)
- 1926-1927 : décors de façade de l'usine Morel et Gaté à Fougères
- 1927 : façades de la "Maison bleue" à Angers
- 1938 : sols de l'École supérieure d'aviation d'Angers
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Ils font des façades d'usine, des boulangeries, des boucheries, des bars tabacs, des cafés, la piscine St Georges à Rennes, Ste Thérèse et Ste Jeanne d'Arc à Rennes. L'Immeuble Poirier à Rennes (7 rue Janvier). La piscine de Rou-marsson (49). L'hôtel d'Anjou à Angers (à droite du palais de justice). Et beaucoup de salles de bain.
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ODORICO et BANDOUX 1945-1958
- La veuve d'Isidore s'associe au Belge en 1952
DORICO & JANVIER
- Janvier est gérant à partir de 1952, il devient directeur en 1958, la maison ferme en 1978.
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24 FEVRIER 2010 |
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VISITE DU CENTRE D'HEMODIALYSE DE L'HOPITAL DE LAVAL |
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Par notre Président Dominique Touzard |
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Dominique et Claude nous accueillent chaleureusement autour d'un apéritif sympathique, certains parmi nous ayant besoin de se requinquer avant d'affronter la visite (peur du sang peut-être ? ).
Dominique nous explique le principe de l'hémodialyse et nous fait visiter les locaux.
Il nous précise que le centre d'hémodialyse de l'hôpital de Laval a été ouvert en
2004.
L'hémodialyse existe depuis les années 50. Mais dans les années 75, il y avait si peu de postes de dialyse en France que les médecins devaient choisir eux-mêmes les patients qui pourraient bénéficier du traitement… On imagine la dure responsabilité. Aujourd'hui ce n'est heureusement plus le cas, même si le nombre de postes est encore insuffisant et oblige certains patients à aller se faire dialyser dans un autre département.
Mais d'abord qu'est ce que l'hémodialyse ?
(merci wikipédia)
L'hémodialyse est une méthode permettant aux malades dont les reins ne sont plus fonctionnels d'épurer leur sang par la création d'un circuit de circulation extracorporelle et son passage dans un dialyseur. On fait circuler le sang dans des capillaires, des fibres très fines et poreuses, qui baignent dans un liquide appelé dialysat. Celui-ci est généré par une machine ; il est chimiquement proche de la composition d'un plasma sain et dépourvu de déchets. Les échanges se font à travers la les fibres du dialyseur qui ont des pores calibrées pour laisser passer l'eau et les impuretés, mais pas les globules sanguins.
Ceci permet 3 choses vitales pour le patient atteint d'insuffisance rénale : retirer du sang les déchets produits par l'alimentation ; équilibrer le bilan électrolytique sanguin ; éliminer le surplus d'eau. A son arrivée au centre de dialyse, le sujet est pesé et reste en dialyse jusqu'à ce qu'il ait perdu suivant les cas 1.5 à 3 l d'eau correspondant au liquide qu'il aurait normalement uriné. On peut soutirer au maximum 1 l d'eau à l'heure.
Chez un sujet sain, tout ceci est normalement réalisé par les reins 24h/24. Or, les insuffisants rénaux n'ont plus de rein fonctionnel. L'hémodialyse vient donc en remplacement, en moyenne lors de 3 séances de 4h par semaine.
Ce traitement se poursuivra à vie ou jusqu'à la transplantation d'un rein. |
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Les postes à Laval.
L'hôpital de Laval dispose de 8 postes de dialyse et l'association « Echo », situé dans les mêmes locaux, juste au dessus, dispose de 12 postes. En région Pays de Loire, il y a environ 1000 malades. On visite l'une salle disposant de quatre lits, et de 4 TV.
Auto dialyse.
Pour les malades les plus autonomes, ou allant être greffés, on peut envisager l'auto-dialyse. Cela nécessite 4 à 5 mois de formation dans les locaux de la mutuelle de la Mayenne. Aujourd'hui, on n'équipe plus les logements des malades eux-mêmes, mais on équipe des centres (car lorsque le malade est greffé le poste reste opérationnel pour d'autres malades).
Dans ces centres le malade ne se pique pas lui-même, il y a une infirmière pour 6 malades.
Il existe aussi une salle pour les dialyses aiguës. (À différencier de la dialyse chronique).
Pour traiter quelqu'un qui aurait ingéré un toxique (comme de l'antigel par exemple)
Comment fonctionne l'installation ?
On utilise l'eau de la ville, appelée « eau brute » + de la javel + des filtres de plus en plus fins.
Le premier de 5 µ, le plus fin de 0.22 µ. L'eau passe dans un circuit, est stockée dans une cuve de réserve (une heure d'autonomie) et doit arriver hiver comme été entre 15° et 20° (présence d'un échangeur thermique).
Désinfection chimique de la bi-osmose de la boucle du traitement de l'eau : une fois par semaine.
On obtient de l'eau pure et stérile.
Utilisation de 10 à 15m3 d'eau par jour.
Tous les jours les techniciens relèvent tous les paramètres (chlore, pression,…) qui sont obtenus par informatique.
Après la dialyse les eaux rejoignent les égouts (urée très diluée).
Un malade consomme 150 litre d'eau par dialyse et 20m3 d'eau à l'année.
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Visite du local de stockage
L'hôpital dispose d'un mois de stock.
L'association « Echo » de quinze jours.
Marc-François fait remarquer qu'il pourrait y avoir une optimisation de la gestion des coûts.
Un mois semble trop important.
Manque de médecins L'an dernier il y avait 4 médecins dans le service. En juin dernier l'un d'eux à démissionné, un autre est décédé, et cette semaine un autre s'est mis en congé maladie. Dominique est maintenant seul maître à bord… ce qui est assez difficile.
Il y a également un médecin dans la structure « Echo ». Heureusement.
Nous remercions Dominique et Claude de leur accueil et de toutes leurs explications. En espérant, malgré tout, n'avoir jamais à venir dans ce service en tant que patient…. |
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